2017 doit être l’année de Larry June. En février, Warner Bros l’a signé en partie en partie sur sa sacrée deuxième mixtape «Larry Two», et maintenant nous obtenons une nouvelle mixtape qui est également dope.

Juin est de la région de Biggety Bay, et cela se voit. Il a ce son décontracté, le son nocal – réminiscent de tant de grands rappeurs des années 1990 qui sont sortis avec des confitures qui ressemblaient un peu à la gangsta de la côte ouest, ils avaient des histoires de rue mais ont également évité des violences constantes et des canons d’armes à feu pour les rimes sexuelles et le flossin. Comme sur une chanson où il remercie un gars pour avoir pris sa voiture parce que cela lui a donné du temps, bloqué sans véhicule, pour se découvrir.

Oui, il y a quelques endroits où il traîne – il se sent juste trop familier pour être innovant, ou trop lent pour vous y garder – mais surtout, dans l’ensemble, c’est une excellente version.

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